Depuis l'éclatement de l'affaire Pornhub plusieurs acteurs de ce secteur ne cessent d'intervenir pour régulariser cette situation. Ainsi, les travailleuses du sexe désirent faire des témoignages et participer activement au déroulement de cette affaire. Découvrez dans cet article les propos de Sandra Wesley et Mme Sinclaire.
Mme Sinclaire pense que cette histoire lui coûtera son travail
Mme Sinclaire est une photographe professionnelle. Dans son métier, elle célèbre tous les genres et toutes les sexualités et assume fièrement son métier. Pour la petite histoire, son petit ami avait publié des contenus explicites d'elle par le passé. Cet événement à déclencher son amour pour ce métier et elle désire amener d'autres personnes à s'assumer. Ainsi, elle craint des représailles si les nouvelles dispositions sont apportées dans le secteur de la pornographie. En effet, le comité parlementaire cherche des moyens pour protéger la vie privée ainsi que la réputation de ceux qui sont victimes de contenu illicite.
De même, la directrice d'un groupe de travailleuse sexuel désire avoir son mot à dire sur la question. En réalité, Sandra Wesley a vue se faire refuser à plusieurs reprises le droit de témoigner ainsi que d'autres travailleuses. Pour elles, dès que le secteur sera réformé les changements affecteront négativement leurs vies. Pour d'autres, les contenus d'identification des personnes publiant des vidéos sur le sexe peuvent être facilement piratés. Ils sont donc exposés à des risques encore plus grands et peuvent perdre leur travail.
Le comité demande aux travailleurs de faire des mémoires
L'affaire Pornhub parle de diffusion de contenu illégal et de violence sur les enfants. Le responsable du site n'a pas tenue informée les autorités étatiques dès le début de publication de ces vidéos. L'affaire a été prise par la justice et des mesures sont en train d'être prise. Seule les cas de vidéo non consensuel publié sur Pornhub sont concernés. Après avoir reçu des dizaines et dizaines de lettres pour appeler a témoignages, le comité demande aux travailleuses de faire des mémoires. Sandra Wesley demande plus, elle veut être entendu.